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La rentrée scolaire 2018-2019 pour un parent Vénézuelien

Dernière mise à jour : 27 janv. 2019

La rentrée scolaire au Vénézuela 2018-2019

Nous vous présentons quelques informations sur la situation des parents vénézueliens pour la rentrée scolaire, nous avons échangé avec des amis qui sont dans le pays avec leurs enfants. Voici un exrait de leur parcours du combatant. 

Aujourd'hui l'Etat vénézuelien ne peut pas garantir la présence des enfants dans les écoles en raison des conditions précaires des établissements publiques.
Notre contact local,  Figueroa, nous a expliqué qu'à l'heure actuelle, 69% des écoles ne dispensent pas le premier cours de la journée.
Elle nous a expliqué l'urgence humanitaire. Selon elle, les graves problèmes de l'éducation sont liés dans un premier temps à la question de la malnutrition des enfants,  le manque d'enseignants, et les défaillances dans les services publics auxquelles il faut s'attendre pour la prochaine année scolaire .
Angie se soucit aujourd'hui de la rentrée scolaire qui arrive. Elle dit que les prix ont augmenté de plus de 1000%. "L'année dernière, un carnet de notes coûtait 900 Bs. (environ 0.02€), il coûte actuellement 5,500,000 Bs. (environ 1.4€)".

Une liste de fournitures de base peut coûter environs 194.000.000 bolivars, une somme exorbitante d'argent qui représente une année de salaire minimum, qu'aucun parent ne peut acheter.
On constate que l'abandon scolaire augmente en raison de la crise économique qui frappe le pays.

A travers notre projet nous voulons simplement aider les parents qui continuent à se battre et qui veulent construire un avenir meilleur pour leurs enfants. Un signe de générosité peut ainsi entretenir l'espoir et améliorer un  peu les conditions d'apprentissage de quelques classes d'enfants, les plus démunies.

Nous  voulons construire, avec nos donateurs un meilleur avenir pour les enfants du Vénézuela!
Après la pluie, vient le beau temps!
Créons de la conscience humaine, aidons le prochain. Ne restons pas insensible à la douleur des citoyens vénézueliens.

Une petite action en France, c'est un énorme signe d'espoir au Venezuela.

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